lundi 19 mai 2014

La situation des populations et la biologie des vautours fauves dans les Pyrénées Françaises.

Au travers de trois livres anciens.

                                 Andréas Guyot

Dans un premier article que vous avez reçu avec le dossier de la réunion du 27 octobre 2009, j’ai évoqué (comment expliquer le problème « Vautour » et quelles solutions.)

Dans un autre article publié en 1993, (Le nourrissage des vautours : était-ce vraiment indispensable ?, j’avais déjà posé la problématique du dit nourrissage.

Cet article va vous présenter au travers de livres anciens la population et la biologie des vautours dans les Pyrénées Françaises.

1° Philippe, Ornithologie Pyrénéenne, oiseaux sédentaires - Oiseaux de passages, Bagnères 1873.

Texte :
Vautour Arrian – Vultur Cinereus. (Linn)
Tête très forte, garnie à sa partie postérieure de petites plumes brunes. Cou dénudé ; la peau de couleur bleuâtre. Première rémige courte, la quatrième est la plus longue ; queue carrée, constamment usée à sa partie supérieure. Iris d’un brun foncé. Plumage d’un brun plus ou moins foncé. Longueur 3 pieds 7 à 8 pouces, le vieux mâle.
La femelle est plus grande à 13 ou 14 pouces d’envergure. L’iris est d’un brun clair.
Les jeunes ont le cou couleur de chair tirant sur le bleuâtre ; le plumage fauve ; l’iris foncé. L’arrain habite de préférence le revers méridional des Pyrénées, mais parcourt en tout temps la chaine. Il est sédentaire et niche dans notre département sur les rochers du Clot de Mountarioux. On le voit d’origine voyager par troupes assez nombreuses.
Il est redouté des bergers. Les animaux vivants sont sa nourriture habituelle ; il les met à mort et les déchire sur place. On l’a vu quelquefois, pressé par la faim, s’abattre sur des charognes. Les jeunes se rabattent plus volontiers sur des animaux morts. L’odorat semble nul chez cet oiseau et même dans tout le genre. Privé de nourriture pendant douze jours, deux arrians que j’élevais ne sentirent pas de la viande recouverte d’une simple feuille de carton, bien qu’elle répandie une odeur très forte. Ils l’engloutirent avec avidité, dès que je l’eus découverte.
Ces oiseaux sont susceptibles d’éducation.
Un autre arrian que j’ai gardé pendant sept années, répondait très bien à ma voix ; il était jaloux des mes caresses et se précipitait sur mon chien, dès que je faisais mine de vouloir le caresser. Nos montagnards, qui utilisent toute chose, prétendent que la chair de l’arrain est excellente, convenablement préparée à la sauce au vin.
Le plumage de ce vautour n’est parfait qu’au bout de cinq ou six ans.

(D’Andréas : ce vautour est le vautour moine, il fait l’objet d’une réintroduction dans le massif central).
Voici maintenant le vautour Fauve :

Texte :
Vautour Griffon- Vultur Fulvus (Linn).
Diffère du précédent par son cou couvert d’un duvet blanc et laineux, par son plumage isabelle, sa collerette de plumes blanches à barbes déliées. Le vieux mâle mesure 3 pieds 10 à 11 pouces.
La femelle a 4 à 6 pouces de plus, son envergure est de 9 à 10 pieds.
Les jeunes sont de couleur fauve, la baguette des plumes est blanchâtre ; la collerette longue et fauve, et non à barbes déliées. Ce n’est qu’à la quatrième mue que ces oiseaux revêtent la livrée isabelle.
Lâche et ignoble, le griffon a peur des plus petits animaux vivants. Ce n’est qu’en société et pressé par la faim, qu’il se décide à attaquer les bêtes à laine et les chamois. Il se rabat sur toute charogne, quelque putréfiée qu’elle soit. Ce vautour supporte très longtemps la faim. On le mange à l’étouffé, après l’avoir fait mariner cinq à six jours, pour lui faire perdre son odeur musquée.
Il niche dans les rochers les plus inaccessibles qui avoisinent notre Pic du Midi, ainsi que sur les rochers des environs de Paillole et de Sarrancolin. Ses œufs sont rugueux, gros et pointus, d’un gris blanchâtre, marqués de quelques taches rougeâtres. Les œufs blancs appartiennent aux jeunes couples. Il est commun sur les Pyrénées et sédentaire. Son odorat est obtus.

2° L.J. Yeatman, Histoire des oiseaux d’Europe, Bordas 1971.

Vautour Fauve, Gyps fulvus.
Extrait ; …..Dans les Pyrénées Françaises, les frères Terasse ont parcouru les vallées les plus reculées et n’ont découvert que 2 colonies comprenant en tout 35 couples constituant la totalité de la population française. C’était autrefois un oiseau observé en nombre dans la partie occidentale de la chaine et les tireurs au fusil ont une grande responsabilité dans cette quasi-disparition. J’ai assisté dans mon enfance à une de ces chasses au sommet de la Rhune aux portes de Saint-Jean-de-Luz : j’y étais conduit par un parent naturaliste compétent et passionné mais appartenant à une génération de collectionneurs pour qui seul comptait un spécimen mort.
Dissimulé au cours d’une longue attente près d’une carcasse placée deux jours à l’avance, je vis d’abord se poser des corbeaux, puis vinrent des milans, enfin les deux Vautours qui n’avaient cessé de planer descendirent, bientôt suivis de plusieurs autres. Ce jour-là, il n’y eut qu’un coup de fusil et qu’une victime mais souvent il devait se faire de vrais massacres à en juger d’après les cartes postales sur lesquelles des imbéciles suffisants paradaient devant des brochettes de vautours morts.
La situation est meilleure dans les Pyrénées espagnoles où les colonies sont assez nombreuses. Des rassemblements d’une centaine d’oiseaux n’ont pas d’autre origine. Les principales chaines de montagnes de la péninsule abritent des colonies de vautours fauves…….. 

3° A.E. Brehm, l’homme et les animaux, les oiseaux, J.B. Baillière et fils Paris 1878.
Texte :
Le Gyps fauve – Gyps fulvus.
Caractères.- Le gyps fauve est un oiseau de 1m13 de long, sur 2m72 d’envergure ; la longueur de l’aile pliée est de 72cent, celle de la queue de 32. Son plumage est d’un brun fauve clair uniforme, le ventre étant plus foncé que le dos. Chaque plume est bordée d’un liseré clair. Les grandes couvertures supérieures de l’aile sont bordées de blanc, ce qui forme une bande claire en travers de l’aile. Les rémiges primaires et les rectrices sont noires ; les rémiges secondaires d’un gris brun, bordées en dehors d’un mince liseré fauve ; les plumes de la collerette blanches ou d’un blanc jaunâtre. L’œil est brun clair ; la cire gris de plomb foncé ; le bec brun de corne ; les pattes sont d’un gris brunâtre clair.
Les jeunes oiseaux ont un plumage plus foncé, avec les tiges de plumes plus apparentes. Les plumes de la collerette sont brunes, longues et minces, tandis que, chez l’adulte, elles sont courtes ébarbées et blanches.

Distribution géographique.- Le gys fauve est commun dans la Transylvanie, dans toute la péninsule Hellénique, à partir des Balkans, dans l’est, le sud et le centre de l’Espagne et dans le sud de l’Italie ; quelquefois, mais rarement, il s’égare jusqu’en Allemagne. Il est bien plus répandu encore dans toute l’Egypte, dans le nord de la Nubie, dans la principauté de Tunis, en Algérie, au Maroc, et il est également commun dans le nord-ouest de l’Asie. On le trouve dans l’himalaya ; mais il descend rarement dans les plaines de l’Inde, où il est remplacé par deux espèces voisines, les gyps indicus, et gyps bengalicus, qui lui ressemble beaucoup.

Mœurs, habitudes et régimes.- Tous les gyps paraissent habiter les rochers, et ce n’est que là que l’on trouve leurs aires : aussi les rencontre-t-on surtout au voisinage des montagnes escarpées. Jamais je n’ai vu le gyps fauves perché sur un arbre ; par contre, le gyps de Ruppell y passe souvent la nuit. D’après ce que j’ai pu observer, les gyps manquent totalement dans l’intérieur des forêts.
Les mœurs des gyps se rapprochent beaucoup de celles des autres vulturidés ; toutefois, elles présentent quelques différences importantes. Les gyps se meuvent avec plus de rapidité et d’élégance que les autres vulturidés de l’ancien monde ; en s’abattant, surtout, ils déploient presque autant de légèreté qu’un faucon, et change facilement de direction, tandis que les autres se laissent tomber verticalement presque jusque sur le sol.
A terre, ils marchent assez bien pour qu’un homme ait de la peine à les atteindre à la course. De tous les vulturidés, ils sont les plus rusés, les plus colères, les plus violents. Leur intelligence est bornée ; les basses qualités, seules, semblent être développées chez eux.
Ils vivent en grandes sociétés, nichent en colonies, et se réunissent souvent à d’autres vautours ; mais ils sont toujours les premiers à amener la discorde, et ne tardent pas à dominer les autres espèces. Ils marchent droit sur celui qui les attaque. Blessés, ils se défendent avec rage, se précipitent même sur l’homme, font des bonds d’un demi-mètre de haut, claquent du bec et s’élancent toujours vers la figure de leur adversaire. Quand on les attaques, ils se sauvent d’abord en courant ; mais les serre-t-on de trop près, ils se retournent subitement, sifflent comme les hiboux, roulent des yeux furieux.
Est-on parvenu à les saisir, ils se défendent avec leurs serres, et, quelque peu acérées qu’elles soient, elles n’ont font pas moins de blessures dangereuses. Ils ne se comportent pas autrement vis-à-vis de leurs semblables. Il arrive parfois que deux gyps, qui, jusque-là, avaient vécu la paix la plus profonde, qui volaient tranquillement l’un à côté de l’autre, commence un combat, dans l’ardeur duquel ils oublient la hauteur où ils se trouvent.
« Dans une chasse à la Sierra de Guadarrama, dit mon frère, je vis haut, dans les airs, deux gyps fondre tout à coup l’un sur l’autre ; ils se saisirent mutuellement, et, incapables de continuer à voler, ils tombèrent à terre en tourillonnant comme une masse inerte. Cela ne refroidit pas leur fureur. Ils continuèrent la lutte, sans se préoccuper de ce qui les environnait. Un berger voulut s’en emparer et tomba dessus avec un bâton.  Il leur fallut recevoir plusieurs coups, avant que l’idée leur vint qu’ils feraient bien mieux de s’éloigner et de remettre à plus tard la reprise de leur duel. Ils finirent par se séparer et par se sauver à tire-d’aile, chacun de son côté. »
Ils ont leur rôle déterminé dans l’attaque d’un cadavre : ce sont eux qui mangent surtout les organes contenues dans les cavités. Quelques coups de bec leur suffisent pour ouvrir dans la paroi abdominale une brèche suffisante pour y entrer leur long cou. On voit, à leurs tressaillements, avec quelle ardeur ils sont à l’œuvre. Ils avaient les viscères, comme le cœur, le foie, sans sortir la tête de la cavité abdominale ; quant aux intestins, ils les tirent hors du corps, puis les coupent d’un coup de bec et les avalent par morceaux. Leur tête et leur cou sont recouverts de sang et de débris, leur aspect est hideux. Je ne sais si, en réalité, ils attaquent les animaux malades ou mourants, comme le condor.
Les Arabes et les bergers des montagnes du sud de la Hongrie leur imputent de pareils méfaits. Ces derniers ont assuré à Lazar que le vautour chauve attaquait et tuaient les moutons égarés.
D’après mes observations, les gyps dorment longtemps pendant le jour. Ce n’est que quelques heures avant midi qu’ils se mettent en chasse, et, vers midi, ils prennent leur nourriture. Lorsqu’ils ont des petits, ils sont tenus à plus d’activité. Lazar , du moins, m’écrit en avoir vu « à cette époque, partir peu après le lever du soleil, et parcourir d’abord pendant près d’une heure les alentours du rocher où ils étaient établis. S’élevant ensuite peu à peu, en décrivant des cercles de plus en plus grands, ils finissent par disparaître dans le lointain. Vers midi, ils reviennent, chacun de son côté, se réunissent près de leur colonie, et se remettent à tourner autour de leur rocher. Après cet exercice, ils viennent se poser sur une saillie, sur une arête, et s’y reposent durant quelques heures. Entre deux et trois heures de l’après-midi, ils s’élèvent de nouveau avec grand bruit, tournent quelquefois autour de leur demeure, et repartent pour se mettre en quête de nourriture ; mais ils y consacrent moins de temps.
Plusieurs heures avant le coucher du soleil, ils sont déjà de retour à l’endroit où ils ont élu domicile »
Baldamus, Kruper, Simmpson et mon frère nous ont fait dans ces derniers temps, connaître le mode de reproduction de gyps fauve. Je ne crois pouvoir mieux faire que de citer textuellement le dernier auteur, qui est le plus complet et le plus concis.
« Dans le midi de l’Europe, les amours du gyps fulvus ont lieu dans la seconde moitié de février ou au commencement de mars. L’aire est construite dans une crevasse de rocher, ou au-dessus d’une saillie qui la surplombe ; elle est formée d’une couche peu épaisse de branches d’un faible volume. La femelle y pond un seul œuf, gros comme un œuf d’oie ; le mâle le couve le matin, et les premières heures de l’après-midi, la femelle tout le reste de la journée. Jamais le gyps fauve ne niche dans les arbres. Lorsque la place convenable, on y trouve plusieurs aires, distantes l’une de l’autre de cent à deux cents pas. Ces colonies ne sont pas formées exclusivement par des gyps fulvus ; on y trouve encore des gypaètes, des aigles de Bonelli, et même des cigognes noires.
« Les gyps fauves ne quittent pas volontiers leurs œufs ; il faut un bruit assez fort pour les attirer hors de leurs trous ; ils se tiennent alors à l’entrée, regardent de tous côtés, cherchant qui a pu troubler leur repos, et ne s’envolent que quand ils sont bien convaincus du danger. Dans mes chasses aux environs de l’Escurial, je me suis souvent amusé à faire lever des gyps de dessus leurs œufs. Chaque fois que je criais, ils apparaissaient, regardaient de tous côtés, et ne pouvant m’apercevoir, rentraient dans leur nid. Un coup de feu les faisait tous fuir en grande hâte ; et il fallait attendre longtemps pour les voir revenir : ce n’était qu’au bout d’une demi-heure qu’ils apparaissaient de nouveau, l’un après l’autre. Chacun visitait les alentours de son nid, puis venait se percher sur le rocher, regardait encore de tous les côtés, et disparaissait enfin au fond de sa crevasse. On a souvent dit et répété que ces vulturidés attaquaient courageusement le chasseur qui voulait s’emparer de leurs petits ; cette assertion est complètement dénuées de fondement.
« On ignore encore quelle est la durée de l’incubation ; on sait seulement qu’à la fin de mars les petits sont éclos. Jamais ces oiseaux n’exhalent une odeur bien agréable. Déjà leur œuf, tout frais pondu, a une odeur de musc si épouvantable qu’il faut être un naturaliste passionné pour avoir le courage de vider un de ces œufs, encore ne le fait-on pas toujours sans dégoût.
« Les petits ressemblent dans les premiers temps à un paquet de laine ; ils les nourrissent avec beaucoup de tendresse ; ils les nourrissent d’abord avec de la viande complètement putréfiée, puis ils leur donnent des aliments plus solides, mais provenant toujours de la même source.
Un pareil régime n’est guère propre, on le comprend, à faire disparaître la puanteur innée de ces oiseaux. Grâce à la quantité énorme d’aliments qu’ils avalent, les jeunes croissent très rapidement ; ce n’est toutefois qu’à trois mois qu’ils peuvent prendre leur essor. »

Captivité.- Baldamus eut un gyps fauve qui avait été dans le nid ; sa taille était celle d’un grand coq ; il était recouvert d’un duvet épais et laineux, d’un blanc sale, il exhalait ; surtout par les narines, une odeur repoussante, et était d’une voracité extrême. A peine capturé, il mangea deux grives et un coucou, le lendemain, un milan, une carpe de moyenne taille et les intestins de plusieurs oiseaux. Trois semaines après, c’est à peine si l’on pouvait le rassasier. En vingt-quatre heures, il engloutit les viscères de deux veaux, et avala tout ce qu’il put trouver, même du bois et de la terre : les passagers du bateau à vapeur, de leur côté, lui, fournirent ainsi quelques aliments. Lui donnait-on un animal entier, il cherchait toujours à lui ouvrir d’abord le ventre. Plus tard, il ne toucha au reste d’un cadavre, avant d’en avoir complètement vidé l’abdomen.
« Sa voracité était telle, dit Baldamus, que quand il me voyait entrer dans son étale sans rien lui apporter, il se mettait à crier, à secouer la tête, se précipitait sur moi, me mordait les pieds et les vêtements. Il apprit bientôt à me distinguer des autres personnes. »
Un gyps fauve apprivoisé est une chose tout à fait exceptionnelle ; d’ordinaire, il reste méfiant et méchant, même avec son maître. « Ce n’est pas trop s’avancer, dit mon frère, que de dire qu’il demeure toujours jusqu’à un certain point dangereux. Une seule fois, j’ai vu un gyps réellement apprivoisé ; c’était dans une auberge, à Bayonne ; encore était-il attaché par une chaine, qui gênait considérablement ses mouvements. Cet oiseau arrivait à l’appel de son maître, s’approchait de lui, se laissait prendre et caresser à la tête, au cou et au dos. Il vivait en très bons rapports avec les chiens de l’auberge.
Lazar dit que le gyps fauve est faux et maussade : il le compare volontiers aux mélancoliques méchants. Il n’en a jamais vu que deux qui fussent apprivoisés. L’un d’eux suivait son maître comme un chien ; il entreprenait parfois de petites excursions, qui duraient un ou deux jours, puis revenait. Le second appartenait à un boucher, qui le conserva plusieurs années. Il vivait en parfaite amitié avec un vieux chien. Lorsque celui-ci mourut, on jeta son cadavre au rapace, mais, quoique affamé, il ne toucha pas à son ancien ami ; il devint triste, refusa toute nourriture, et mourut huit jours après le chien.

Usage et produits.- En Égypte, les plumes du gyps fauves sont employées à divers usages. Les pennes des ailes et de la queue servent, notamment, de parures et entrent dans la confection de divers ustensiles. Dans l’île de Crète et en Arabie, on vend, dit-on, les peaux de vautour aux pelletiers, pour en faire des fourrures ; les seigneurs arabes et turcs, d’après Belon, payaient ces fourrures excessivement chères. Aujourd’hui, on ne parait plus connaître cet usage en Égypte ; du moins, n’en ai-je jamais entendu parler.

D’Andréas : il m’a semblé important que vous connaissiez cette histoire du vautour fauve à travers les âges, car cela relativise l’excès de certain défenseur, vous remarquerez que le problème des attaques étaient déjà connu, je l’ai souligné dans le texte.
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